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Mazars Avocats s’installe chez Carlara

Mazars Société d’Avocats renforce sa présence à Paris intramuros dans les locaux du cabinet d’avocats CARBONNIER LAMAZE RASLE (CARLARA) au 61 rue des Belles Feuilles (16e) pour accélérer son développement sur les expertises en corporate M&A, droit bancaire et financier et droit du travail.

CARLARA et Mazars Société d’Avocats sont membres fondateurs de Marcalliance, réseau international d’avocats comprenant actuellement 29 cabinets dans 28 pays, en Europe, Amérique du Nord et du Sud, Asie et Océanie. 

Mazars Société d’Avocats s’est récemment renforcé avec l’arrivée de nouveaux associés à Strasbourg, Toulouse et l’ouverture d’un bureau à Marseille. Mazars Société d’Avocats regroupe plus de 150 professionnels en France répartis sur 9 bureaux (Paris, La Défense, Carcassonne, Le Havre, Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, Valence).

Candidats à la Présidence au Conseil de l’Ordre

Le conseil de l’ordre a approuvé, en sa séance du 3 octobre 2023, la liste des candidats au conseil de l’ordre :

  • Madame la bâtonnière Julie Couturier et Monsieur le vice-bâtonnier Vincent Nioré
  • Madame Valérie Rosano et Monsieur Eric Ader
  • Monsieur Antoine Juaristi et Madame Lise Le Borgne
  • Monsieur Yann Utzschneider et Madame Gépy Koudadje
  • Madame Stéphane Haziza et Monsieur Anne-Guillaume Serre
  • Madame Fadela Houari et Monsieur Benoît David
  • Madame Stéphanie Encinas et Monsieur Nicolas Mahassen
  • Madame Anne-Constance Coll et Monsieur Frédéric Bélot
  • Madame Marion Couffignal et Monsieur Charles Ohlgusser

Succès pour le pôle Restructuring

Cinq cabinets sur le redressement judiciaire de Frichti

Par LA LETTRE DES JURISTES D’AFFAIRES 

Le 27 septembre dernier, le spécialiste français des courses à domicile La Belle Vie a été retenu par le tribunal de commerce de Paris, pour reprendre les activités de Frichti, expert de la livraison de repas, qui avait été placé en redressement judiciaire en mai dernier. Après avoir été rachetée par Gorillas en 2022, puis détenue par Getir après l’acquisition du groupe allemand par le géant turc, la jeune pousse tricolore était confrontée à des difficultés financières qui mettaient en péril son avenir. Pour reprendre Frichti, La Belle Vie a mis 30 000 € sur la table, une somme à laquelle il faut ajouter une provision de 450 000€. Le groupe s’engage également à reprendre 168 des 334 salariés de Frichti et à conserver 4 centres logistiques, ainsi que 14 des 18 restaurants d’entreprise.

 

Captives de réassurance

Article de l’hebdomadaire RISKASSUR du mardi 20 juin 2023

Un récent décret voté dans le cadre de la loi de financement 2023 de la sécurité sociale vient d’assouplir les conditions financières et fiscales pour les entreprises qui souhaitent créer des captives de réassurance en France. Par ce nouveau décret, il est maintenant possible de créer sa captive de réassurance selon des conditions comparables à celles existant au Luxembourg.

Edouard de Lamaze, Associé fondateur du cabinet d’avocats Carlara (Carbonnier-Lamaze-Rasle) explique  « Ces nouvelles règles offrent des opportunités sérieuses pour de nombreuses entreprises françaises qui sont confrontées à l’augmentation de leurs polices d’assurance ».

Les captives, structures juridiques permettant aux entreprises de créer leur propre structure d’assurance pour s’auto-assurer contre ses propres risques, dans une optique de réduction des coûts de police d’assurance (gain de marge, gain fiscal, gain d’usage), souffraient jusqu’ici d’une fiscalité désavantageuse.
Les entreprises qui souhaitaient créer ces captives devaient le faire au Luxembourg. De fait, c’était une option rarement retenue par les entreprises françaises.
Par ce décret, ce dispositif est désormais pleinement accessible en France, et de nombreuses entreprises commencent à franchir le pas. Les captives de réassurance, dans cette nouvelle mouture fiscale, peuvent avoir un intérêt fort pour les groupes ayant des risques d’assurances importants et souhaitant améliorer leur gestion des risques à long terme.

«Le cabinet Carlara a développé une expertise dans ce domaine» précise Edouard de Lamaze. «Nous encourageons les entreprises à
réfléchir à l’opportunité de créer une telle structure et à se rapprocher des cabinets comme le nôtre qui peuvent aider à faire une analyse bénéfices-risques ».

Assurance-crédit : rôle, missions
et enjeux de la COFACE

Le Forum francophone des affaires (FFA) que préside M. Stève GENTILI, président de BRED Banque Populaire, et le cabinet Carbonnier, Lamaze, Rasle et associés (Carlara) ont organisé fin 2017 une table ronde sur le groupe Coface, le rôle et les missions de l’assureur-crédit qu’a présentés M. Xavier DURAND, son directeur général depuis 2016.

Ancien élève de l’Ecole polytechnique (1983), ingénieur des ponts et chaussées, M. Xavier DURAND fut notamment directeur général adjoint de la Banque Sovac Immobilier de 1994 à 1996. Il rejoignit alors le groupe General Electric, a rappelé M. GENTILI. Directeur du développement pour les Amériques de la division de GE spécialisée dans le financement automobile à Chicago, M. DURAND devint ensuite en 1998 directeur des programmes constructeurs et des ventes aux Etats-Unis. En mars 2000, il intégra GE Capital Bank à Paris en qualité de directeur général, Ventes et Business Développement. Promu en juin 2002 CEO de GE Money en France, il en fut nommé en novembre 2005, CEO de la région Europe du Sud Ouest. En 2008, il prit la direction générale pour la région Europe de l’Ouest, la Russie et la Lettonie de GE Capital Global Banking, avant d’être nommé, en 2011, CEO de GE Capital Asie Pacifique, basé au Japon. M. Xavier DURAND fut ensuite directeur de la stratégie et du développement de GE Capital, basé à Londres, de 2013 à février 2016, date à laquelle il rejoignit Coface comme directeur général.

S’adapter pour faire de Coface l’acteur le plus agile du secteur

Après la violente crise de 2008, son lot de défaillances d’entreprises, et un environnement international toujours plus difficile, Coface doit, en permanence, s’adapter. Ainsi, M. Xavier DURAND a-t-il lancé à son arrivée en 2016 le plan « Fit to win » afin de faire du groupe l’acteur le plus agile du secteur (cf. BQ du 22/09/2016). Dans le monde actuel, on est confronté à une multitude de risques qu’il est impossible de tous anticiper, a estimé ce dernier. Face à sa complexité, il est, en effet, illusoire, voire dangereux, de tabler sur un scénario unique tant l’imprévu devient la règle. Cela oblige à prendre en compte différentes hypothèses. C’est là que Coface peut aider les entreprises, a plaidé son directeur général. Cela suppose de savoir s’adapter et de disposer des infrastructures adéquates. Dans ce contexte, l’agilité est la clé, a-t-il défendu.

Le plan « Fit to win » s’articule autour de trois priorités stratégiques. Fort de son infrastructure technique et de ses plus de 1 500 spécialistes du risque répartis dans le monde entier, le premier chantier tend à renforcer la gestion des risques et la qualité de l’information en investissant dans les technologies, le recrutement et la formation. L’amélioration de l’efficacité opérationnelle et du service client est le deuxième chantier. A cet égard, des process modernisés et la rationalisation de l’organisation permettant un meilleur contrôle des coûts doivent assurer des économies évaluées à quelque 30 millions d’euros en 2018. Enfin, le troisième chantier repose sur la mise en œuvre de stratégies de croissance différenciées. Coface entend, en effet, continuer à tirer parti de son réseau mondial tout en privilégiant la création de valeur plutôt que la croissance à tout prix.

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